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» Le Parisien n'a pas trop apprécié : « Malgré un point de départ original et un duo d'acteurs parfait (Fabrice Luchini et Anaïs Demoustier), Alice et le Maire … Pas grand-chose si ce n’est peut-être un étrange éloge posthume adressé à l’égard de… François Hollande. Ça faisait un moment que je n'avais pas vu un film français aussi représentatif de tout ce qui ne va pas dans ce cinéma français capable de tellement mieux. Pour ma part, je mets 4 étoiles car ce face à face (ou côte à côte plutôt) de Fabrice Luchini comme on l’aime avec Anaïs Demoustier, à la frimousse toujours plaisante, dans un environnement hostile guidé par ses intérêts propres, est très bien reconstitué pour qui saura en discerner les contours. Politique de cookies | De la culture. Le film a été tourné à Lyon, et plus particulièrement : quais du Rhône et de la Saône, opéra de Lyon, passage Ménestrier, passerelle du Collège, restaurant le Cintra, Confluence, préfecture du Rhône, théâtre de la Croix-Rousse, Cité internationale, parc de la Tête d'or, mairie du 6e arrondissement[3]. Toute l'intelligence et la subtilité du scénario est de mettre en association un vieil homme politique toujours en mouvement malgré une lassitude évidente, et une jeune philosophe chargée d'observer et de donner des conseils pour faire jaillir d'éventuelles idées nouvelles. Il n’a plus une seule ide´e. Revue de presse | Du prosélytisme plus ou moins direct pour la Gauche (progressiste donc forcément meilleure - sic - que les autres idées politiques) ce qui décrédibilise le message (dans un film généraliste, ce n'est pas correct de stigmatiser une partie du public, il faut rassembler et montrer qu'on est uni malgré nos individualités) Des bonnes réflexions politiques, malheureusement rarement exploitées dans la réalité car noyées dans le magma des tergiversations et génuflexions de pouvoir. Des idées… Et donc, telle la plus absurde des farces – absurde parce qu’à peine conscientisée – ce film passe son temps à conspuer dans le discours ce qu’il incarne pourtant à l’écran. Jeux concours | 117 abonnés Comment être intelligible ? Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, La Femme qui s’est enfuie Bande-annonce VO, Exhibition On Screen: Frida Kahlo Bande-annonce VF. Il y a une réelle réflexion sur le monde politique et de sa place et action dans le monde en pleine mutation avec les enjeux de disparition des ressources naturelles. Et à quoi fait référence cette fin où. Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Lire ses 1 254 critiques, Suivre son activité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans des appartements bourgeois. Vincent Lindon, François Damiens, Contact | Le réalisateur joue sur les ellipses, tronquant les échanges afin de juste les suggérer, ou en restant sur des non-dits trop peu explicites pour être franchement convaincant. Excellent .Anaïs Demoustier mérite bien son César. Ce film n'est pas un film sur la politique, mais un film sur des hommes et des femmes qui en font. C’est un peu de la faute de cette dernière, depuis que la communication a remplacé la dialectique et les appareils des technostructures l’expression et la réflexion des citoyens. Ça va. On a compris à qui ce film entendait s’adresser… CinéSéries a globalement apprécié le film : « une plongée jubilatoire et très critique dans le monde des collectivités territoriales et de la politique [6]. Le moins que l’on puisse dire sur le film de Nicolas Pariser est qu’il fourmille d’idées, de concepts et qu’il est gorgé de philosophie tel un fruit bien mur. ». Quelques belles images de lyon. Je ne comprends pas qu il y ait des critiques négatives sur ce film alors qu'il pointe de façon très fine les réalités de la politique entre ce que le politicien voudrait faire en tant que démocrate et tout ce que son parti fera pour entraver ses décisions, C'est un film engagé qui nous est donné à voir. Lire ses 361 critiques, Suivre son activité Lire ses 20 critiques, Suivre son activité Les meilleurs films Comédie dramatique, Et puis on n’oublie pas de nous rappeler sans cesse que ce qui manque à ce monde de politiciens, c’est de la pensée. Le cinéaste planchait, en parallèle, sur... En 2015 sortait Le Grand jeu, thriller politique réaliste signé Nicolas Pariser. Lire ses 957 critiques, Suivre son activité le pauvre édile tarde à s’exprimer auprès de son parti et se fait finalement damer le pion par une primaire ? CGU | Tout réinventer. Voilà un film, très honnêtement réalisé, pas trop long, qui filme joliment la Ville de Lyon et qui donne grandement à réfléchir. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. Cela étant dit, et j'affirme que le film mérite d'être vu, quelques éléments m'ont toutefois gêné. Le manque d’une certaine crédibilité et par conséquent d’un message net et clair, nuit ainsi à ce film qui avait pourtant de bonnes bases pour être excellent... A l'instar de sa célèbre homonyme, l'ingénue Alice (Anaïs Demoustier) est propulsée sans le vouloir dans le monde frénétique de la politique.Son observation détachée permet au réalisateur d'accompagner et comprendre les atermoiements d'un élu (Fabrice Lucchini). Enola Holmes sur Netflix : trois stars d'Harry Potter au casting ! D'ou viennent les idées ? J'ai été autant intéressé par la description des méandres sentimentaux de la jeune normalienne jetée brutalement dans le grand bain que par la plongée dans les dessous d'une campagne électorale sans véritable enjeu. C’est l’un des thèmes de ce scénario. Bref, c’est bon. Qui sommes-nous | », CinéSéries a globalement apprécié le film : « une plongée jubilatoire et très critique dans le monde des collectivités territoriales et de la politique[6]. Qui est cet homme politique simple et posé, qui entend baser toute sa campagne sur la « modestie » ? Le scénariste aurait pu nous animer, nous pimenter un peu; passe moi le sel,quoi! A travers la politique, j'y ai ressenti le thème du conflit de deux générations : entre la finissante qui devra bientôt accepter son départ, et la nouvelle qui devra se débrouiller seule dans le monde qu'on lui a laissé. Lire ses 1 989 critiques, Suivre son activité Dynamique, intelligible par l’électeur de base, saupoudré d’un humour corrosif parfois évident et parfois dissimulé dans des périphrases (sur l’ENA qui forme des banquiers au lieu de former des serviteurs du Service Public, comprenne qui voudra), le film de Nicolas Pariser passe bien. Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. Comment contenter tout le monde ? Ex. Sa quête d'idée novatrices et son engagement total pour le bien de la société, me ravit. En attente de voir la version "maire de village rural sans budget et oublié du pouvoir central et devant se débrouiller pour faire survivre sa commune", C’est triste… Lors de sa présentation à Cannes, Nicolas Pariser a dit que la ville avait des airs de Budapest, et à la réflexion, il a raison. Il est curieux de remarquer que, dans un film qui a l'ambition de s'adresser à un public éduqué - en gros, si on est fan hard-core de Rambo ou Dany Boon, vaut mieux passer son chemin - , et où TOUS les personnages sont d'un milieu privilégié, on entende un de ceux-ci parler d' asile psychiatrique , désignation très 19ème siécle, en lieu et place de HP , appellation communément employée depuis des décennies et plus politiquement correcte, comme si Pariser avait eu peur que le spectateur ne comprenne pas. Mais bon ça donne une jolie petite scénette, alors on ferme les yeux ! Des personnages de bobo filmé par un bobo, des dialogues ampoulés et inintéressant. Baptiste Roux, « On était tellement de gauche ». Anaïs Demoustier, qui joue ce rôle, est délicieuse, mais son talent ne suffit pas à sauver un film trop verbeux. Et Alice et le Maire d’être une production étonnante dans le paysage cinématographique actuel. 18 abonnés Une réflexion intéressante sur la vie politique d'aujourd'hui. des dialogues ennuyeux,du blabla politique etc.. oui plutot déçu,et bien entendu dans la voie de Cannes et de la quinzaine des réalisateurs,rien d'étonnant. Quelque chose de peut-être un peu trop intello pour plaire à un très grand nombre. et c'est peut-être ce qui en fait la réussite ainsi que la qualité des acteurs : Tant Fabrice Luchini qui joue en sourdine ou Anaïs Demoustier toujours aussi juste et lumineuse, que les seconds rôles choisis et dirigés avec ... Une réflexion intéressante sur la vie politique d'aujourd'hui. et c'est peut-être ce qui en fait la réussite ainsi que la qualité des acteurs : Tant Fabrice Luchini qui joue en sourdine ou Anaïs Demoustier toujours aussi juste et lumineuse, que les seconds rôles choisis et dirigés avec beaucoup de soin. Préférences cookies | Un vrai prolo confronté aux vrais gros problèmes du quotidien en somme… Jan Kounen, avec Coincée entre le marketing politique et le populisme toujours plus puissant et décomplexé, la vie politique française roule encore, grâce à une sorte de force d’inertie qui un jour, fatalement, va s’arrêter. 430 abonnés Le message est flou, l'image des politiques est brouillonne et on se perd dans cette vacuité scénaristique. Comment faire avancer sa cause ? Ce drôle de métier échoit à Alice Heimann, une littéraire, qui aura sûrement les bagages intellectuels nécessaires pour secourir le maire en capilotade. Car au fond, qu’entend nous proposer cet « Alice et son maire » ? Vous l'avez repéré ? Il ne dénonce rien de très grave, pas de corruption à l'horizon, pas de "balance ton porc" dans les coulisses. Portant, dans le film, le nom de Paul Théraneau, il fait embaucher une assistante chargée de l’aider à relancer son mandat, voire à briguer sa candidature à la présidence de la République, en lui fournissant des idées, car le pauvre est fatigué et il prétend ne plus en avoir. Mais cela demande un peu de réflexion et de questionnement sur ce que l'on souhaite comme monde pour vivre en harmonie et ensemble. Fabrice Luchini dit qu'il ne s'est absolument pas inspiré de Gérard Collomb, le maire de Lyon, pour jouer son personnage et qu'il n'est pas du tout emballé par la politique mais qu'il décèle chez les politiciens « une névrose très mystérieuse »[1]. Les allusions humoristiques sur les communicants professionnels ou les jalousies des voisins de bureau restent suffisamment modérées pour ne pas encombrer le "message", en fait la place de la réflexion intellectuelle dans le combat politique. Les sorties cinéma du 30 septembre : Mon Cousin, L'Ordre moral, A cœur battant... Black Panther 2 : sans Chadwick Boseman, où en est le film Marvel ? Ensuite la femme de ce pote, encore plus bourgeoise que lui. Rien de plus. 2726 abonnés Et alors la fin, c'est le vide aussi. "Alice et le Maire" nous propulse dans la vie quotidienne intense et rythmée de la mairie d'une grande ville française (Lyon). Dans des voitures. ». Symptôme de ce qu’est notre société. Recrutement | [#Cannes2019] #Critique Alice et le maire (2019) de Nicolas Pariser : #AnaisDemoustier et #FabriceLuchini réunis dans un film inspiré de Rohmer avec une écriture fine et des dialogues inspirés http://bullesdeculture.com/... Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Meilleurs films Comédie dramatique en 2018. Lire ses 1 444 critiques, Suivre son activité Et le pire, c’est non seulement que ce film ne se limite qu’à du discours, mais en plus il n’est au final que du triste discours. https://youtu.be/ltMfTzU8TtM. Derrière des pupitres. Discussion philosophique au service d'une réalisation ennuyeuse..... 2 étoiles et demie! Des solitudes qui se croisent, voilà le ressenti de ce film. 16 abonnés ), pouvoir croire et adhérer en son for intérieur, aux nobles idées qu’il partage avec Alice et par là-même avec Rousseau ou Orwell...

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